Présentation
« D’abord j’ai pensé les larmes comme force hydraulique. Les larmes comme des fleuves.
Repensé à l’eau qui court et à l’eau qui coule.
Ensuite j’ai pensé aux bassins versants et aux fleuves souterrains.
J’ai pensé à ma visite aux chutes NIAGARA, à comment c’était l’expérience la plus multiculturelle de toute ma vie.
Alors j’ai repensé à l’énergie et alors j’ai pensé à toutes ces dominations coloniales partout. J’ai inventé le club des rustiques pour l’opposer au club de l’humanité, pour pouvoir faire club avec d’autres sans les cannibali-manger.
Depuis j’ai pensé aux marées, aux deltas où tout se rencontre, au nom des rivières, au validisme, au voile entre les monde. J’ai noté la phrase « tout ce qui est laissé derrière soi est laissé derrière soi pour toujours » J’ai pensé à l’effet que ça fait de trouver de l’espoir là où l’on attendait plutôt de la certitude. Et toujours il y a cette différence entre le mystère et le secret. »